dimanche 15 février 2009

Jour 21: S. Miguel de Allende - 14.02.09

Le matin, nous avons vaillamment entrepris le transfert de Morelia vers San Miguel de Allende, ville mythique des nord-américains qui désirent prendre une retraite sous un éternel printemps, des boutiques d'arts et des cafés et restaurants dépaysants.
Quelques 5 heures et 200 topes plus tard (topes: petites bosses intégrées malicieusement à même la chaussée pour modérer les transports des mexicains au sang chaud, ainsi que les miens) , nous y sommes arrivés.
La premières chose qui frappe en arrivant au Centro historico est cette énorme cathédrale dont je reparlerai plus loin. Sur la place principale, nous retrouvons les vendeux de bébelles qui me rappellent, tout comme à Morélia, que c'est aujourd'hui la St-Valentin.



C'est le jour qu'ont choisi deux jeunes d'environ 18 ans pour se marier en grandes pompe à la dite cathédrale avec limo et mariachis à l'appui. Croyez-moi les jeunes, un premier marriage est toujourjours une erreur, mais on va pas vous le dire en ce si beau jour.





Peu impressionné par tout ce brouhaha, un cheval regarde la scène avec mélancolie. Il aurait aimé qu'on fasse appel à ses services plutôt qu'à une vulgaire limo sans âme.



De retour à la cathédrale, notez la différence d'opulence entre la dame à l'entrée et l'ampleur et le coût de l'édifice. À l'intérieure on retrouve une scène sculptèe très réaliste des souffrances du sauveur, crucifié entre deux larrons (devinez lequel est le mauvais larron).















Pour nous remettre de ces émotions, et de bien d'autres qu'ils serait trop long de raconter, nous avons dignement célébré la fête de l'amour dans notre chambre, avec Chardonnay Queue jaune (notre favori), Pâté à la viance de chez Fauchon et Camenbert, tous trouvés dans une boutique non loin de notre hôtel. Remarquez aussi sur la table les deux petits coeurs allumés qui nous représentent bien - une trouvaille de Claire. Le repas s'est terminé par quelques lampées de délicieux Tequila, pour la touche Mexicaine.
Hasta luego.


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